Ah si la poésie était une arme…
Je vous lancerais des piques qui piquent
je distribuerais aussi des claques qui claquent
et puis de beaux estocs qui choquent…Et toc !
Ah si la poésie était une arme…
Je vous tiendrais alors par la barbichette
Et nom de Dieu ce que cela serait chouette !
Ou peut-être bien par la peau du cul…
mais seulement si j’avais un peu trop bu !
« Si la poésie était une arme… », dites-vous. Je la pense comme un combat. Qui tuer, qui combattre? Tuer l’absence de désir, combattre l’ineptie d’une pensée unique, lutter sans cesse pour « le métier de vivre », comme l’écrivit Pavèse.
Bref, je m’abonne à votre site (et dites-le à ma bonne Espérance, elle pourra perdre sa foi en Dieu et n’aimer que les hommes tout gorgés d’idéaux et de feux d’artifices!).
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Merci d’avoir rejoint les rangs de ceux qui luttent timidement contre ce totalitarisme de la pensée ambiante (et encore plus ces derniers temps). Mais je ne suis pas très étonné : les gens qui se ressemblent se reconnaissent toujours ! N’hésitez pas à laisser une trace de vos passages ! Et bienvenue dans mon Monde qui est donc un peu le votre aussi !
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Petit clin d’œil (mais c’est souvent aussi mon cas!) :
Vôtre est un pronom possessif et signifie « à vous ».
Au plaisir de vous lire donc.
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